Atelier Acheminement des correspondances

medailleumL’atelier sur l’acheminement des correspondances (AACP) s’est structuré en octobre 2011 avec Gilles Lapasset, aujourd’hui disparu. La première réunion s’est tenue le 29 octobre 2011 lors de Marcophilex XXXV à Annecy. Depuis, chaque année, l’Atelier s’est réuni lors des Marcophilex. Ses coordinateurs – Denis Pinhas et Éric Pouillart – travaillent en lien avec Jean-Pierre Duval, spécialiste de la Poste aux chevaux, et les responsables de l’Atelier de la Poste rurale et de l’Atelier Formulaires.

Dès la création de l’Atelier, il a été nécessaire de préciser les limites des études, des recherches et des publications de ses membres. La notion d’acheminement ne semble pas bien “acquise” pour les purs marcophiles.

L’Atelier se limite tout d’abord dans son travail au domaine des correspondances postales, des messages écrits sur un support transportés par voie postale.  De fait, les acheminements par télégraphes, téléphone ou tout autre moyen immatériel sont exclus. Par ailleurs, “acheminement” signifie dans ce projet “transport du lieu de dépôt par l’expéditeur jusqu’au bureau distributeur (exclusion du service de la distribution à domicile ou au guichet)”. Sont concernées les opérations liées à la manipulation et à la transmission des correspondances (tri, timbrage, conditionnement…) ainsi que les moyens de transport.
Géographiquement, les limites posées sont celles de la métropole (France continentale et Corse) et de l’Algérie avant son indépendance. L’Atelier s’intéresse aux correspondances circulant à l’intérieur de ces entités géographiques, ou entre elles. Au niveau international, seuls seront cités les lieux d’échanges et les types de personnels les effectuant. Historiquement, l’Atelier s’intéresse aux acheminements des origines à nos jours.

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